Skyrock.com
  • ACCUEIL
  • BLOGS
  • PROFILS
  • CHAT
  • Apps
  • Musique
  • Sources
  • Vidéos
  • Cadeaux
  • Connecte-toi
  • Crée ton blog

  • Blog
  • Profil

Blog de Akasha6669

Photo de Akasha6669

Akasha6669

Blog secret

Description :

Metal,Paranormal et anti-social!

  • Suivre
  • Devenir VIP
  • Bloquer
  • Choisir cet habillage

Ses Honneurs (34)

  • Aiguilleur
  • +5
  • Anniv' 2 ans
  • Com' 10.000
  • Saint-Valentin
  • Happy New Year

» Suite

Son profil

Profil de Akasha6669
Akasha666942 ans
Miribel (01)
France

Partage

  • Tweet
  • Amis 0

Design by lequipe-skyrock Choisir cet habillage

Signaler un abus

Infos

  • Création : 29/05/2014 à 21:13
  • Mise à jour : 06/02/2022 à 21:13
  • 82 538 visites
  • 63 visites ce mois
  • 6 422 articles
  • 24 576 commentaires
  • 521 amis
  • 1 101 favoris
  • 92 553 kiffs

Ses archives (5 333)

  • POUR TOI AKASHA
  • Bonne nuit à tous
  • Une petite histoire pour dormir?
  • Ténébreuse nuit mes créatures 2

» Suite

Son morceau préféré

Rob Zombie - Dragula

Jouer Rob Zombie Rob Zombie - Dragula (Hellbilly Deluxe)

Skyrock music Ajouter

Ses fans (1 896)

  • Pene0
  • gloirealagneaudedieu
  • celibataire-du-33
  • MelP26140
  • natalia6969
  • laura123
  • chcuisto
  • ahmedldt

» Suite

Sources (1101)

  • Ichtudirwe
  • GOTH-ARCHIVE
  • Shad18
  • MademoiselleC-Series
  • Deeby-Deras-Deviantart
  • Anthropophagos
  • Chris-Hemsworth
  • Mystika-Raven
  • vampire-de-satan

» Suite

Tags

  • Akasense
  • Akasha love you ♥
  • Bande annonce
  • Dark Gothique
  • Erotisme sensuel
  • Evil girls
  • faits-divers paranormal
  • fucking nuns
  • horror movies
  • inked girls
  • L'Antre d'Akasha
  • les animaux sont les meilleurs
  • Les Ténèbres d'Akasha
  • LOL MDR PTDR XD
  • My Superbeast
  • Satanic bitches
  • Satanisme
  • sexy Diablesses
  • sexy goth
  • Tumblr.

» Suite

Abonne-toi à mon blog ! (28 abonnés)

RSS

Retour au blog de Akasha6669

thème 12: la légende de la bête du Gévaudan


 thème 12: la légende de la bête du Gévaudan
La Bête du Gévaudan serait un animal à l'origine d'une série d'attaques contre des humains survenues entre le 30 juin 1764 et le 19 juin 1767. Ces attaques, le plus souvent mortelles, entre 88 à 124 recensées selon les sources, eurent lieu principalement dans le nord de l'ancien pays du Gévaudan (correspondant au  département de la Lozère). Quelques cas ont été signalésdan
-  Le sud de l'Auvergne,
- Le nord du Vivarais
-Au nord du Rouergue.
 
La « Bête du Gévaudan » dépassa rapidement le stade du fait divers, au point de mobiliser de nombreuses troupes royales et de donner naissance à toutes sortes de rumeurs, tant sur la nature de cette « bête » .

elle à été Vue tour à tour comme une sorte de loup, un animal exotique et même un loup-garou, et même un tueur en série à une époque plus récente.
Ce serrais une bête que sur les raisons qui la poussaient à s'attaquer aux populations — du châtiment divin à la théorie de l'animal dressé pour tuer.

De 1764 à 1767, deux animaux, fut identifiés, l'un comme un gros loup, l'autre comme un animal s'apparentant au loup sans en être pour autant (appartenant aux canidés), furent abattus. Le gros loup fut abattu par François Antoine, il était le porte-arquebuse du roi de France, en septembre 1765, l'animal fut abattu  sur le domaine de l'abbaye royale des Chazes.
À partir de cette [c=black][c=black]date, les journaux et la cour se désintéressèrent du Gévaudan, bien que d'autres morts attribuées à la Bête aient survenue,
le second animal fut abattu par Jean Chastel, qui était un enfant du pays domicilié à La Besseyre-Saint-Mary, le 19 juin 1767. Selon les dires, l'animal tué par Chastel était bien la Bête du Gévaudan car, passé cette date, plus aucune mort ne lui fut attribuée.
 
recensement des Premières attaques

La première personne que la Bête attaqua fut une femme habitant tout près de Langogne, mais des b½ufs arrivèrent et firent fuir l'animal. La femme n'eut donc d'autre mal que ses habits déchirés. La première victime officielle de la Bête fut Jeanne Boulet, c'était une jeune fille âgée de quatorze ans, elle fut tuée le 30 juin 17642, au village des Hubacs (près de Langogne) dans la paroisse de Saint-Étienne-de-Lugdarès en Vivarais.
L'an 1764 et le 1er Juillet, a été enterrée, Jeane BOULET, sans sacrement, elle faut aussi une "victime" de la bête, elle fut tuée par la bette féroce, d'autre personnes fut aussi sa "victrimes" telle que Joseph VIGIER et Jean REBOUL.

On relève toutefois sur la consignation de leurs morts que le curé de la paroisse mentionnait qu'elles fuant victime de la bête féroce, ce qui suggère que la victime désigné "première" ne fut pas la première mais seulement la première déclarée.

Une deuxième victime est rapportée le 8 août. Âgée de 14 ans, elle habitait au hameau de Masméjean, paroisse de Puy-Laurent. Ces deux victimes ont été tuées dans la vallée de l'Allier. Les suivantes, dès la fin du mois d'août, et au cours du mois de septembre, meurent autour et dans la forêt de Mercoire.

Étienne Lafont, syndic du diocèse de Mende, se trouvait à Marvejols en cette fin du mois d'août. C'est depuis cet endroit qu'il envoya des chasseurs de Mende, dirigés par le sieur Mercier, afin de venir en aide aux chasses qui se mettaient peu à peu en place à proximité de Langogne. Cependant, Lafont se rendit vite compte que ces chasses étaient insuffisantes et avertit donc M. de Saint-Priest, intendant du Languedoc, et M. le comte de Montcan, gouverneur de la province, de la situation. C'est ce dernier qui donna l'ordre au capitaine Duhamel, stationné à Langogne avec ses dragons, de conduire les opérations de chasse contre la Bête.
 
Duhamel et les dragons

C'est ainsi, qu'à partir du 15 septembre, le capitaine Duhamel et ses dragons (=chasseurs) débutent leurs chasses, armant les paysans pour qu'ils leur viennent en aide. Il y avait, cette année-là, quatre compagnies de dragons, volontaires de Clermont, stationnées à Langogne ou Pradelles et commandées par Duhamel, capitaine et aide-major. Ces militaires étaient alors très présents dans les régions autour des Cévennes, du fait des conflits avec les Camisards au début du siècle (1702-1715). Durant les multiples battues menées en la forêt de Mercoire, jamais la Bête n'est aperçue. Cependant, c'est sans doute à cause de ces diverses chasses que la Bête quitte rapidement cette zone. Elle se déplace alors aux confins de la Margeride et de l'Aubrac, au début du mois d'octobre.
L'appel aux prières par les chrétiens pour combattre cette étrange bête

Le 31 décembre 1764, l'évêque de Mende, monseigneur Gabriel-Florent de Choiseul-Beaupré, également comte de Gévaudan, lance un appel aux prières et à la pénitence. Cet appel est resté dans l'Histoire sous le nom de « mandement de l'évêque de Mende ». Tous les prêtres du diocèse ont pour ordre de l'énoncer à leurs fidèles.
L'évêque qualifie la Bête de fléau envoyé par Dieu pour punir les hommes de leurs pêchés. Il cite saint Augustin pour évoquer la « justice de Dieu », ainsi que la Bible et les menaces énoncées par Dieu à travers la bouche de Moïse : « j'armerai contre eux les dents des bêtes farouches ». À l'issue de cet ordre, il est ordonné que soient respectées quarante heures de prières et de chants, et ce durant trois dimanches consécutifs.
 

Mais les prières ne semblent pas marcher, puisque la Bête continue son massacre en ce début d'année 1765. Au cours des mois de janvier et de février, les chasses de Duhamel et des dragons s'avèrent Inutiles. Les habitants des lieux se plaignent, par ailleurs, de l'attitude des dragons. Ils sont ainsi accusés de ne pas payer les logements ni la nourriture, ou encore de détruire les récoltes. Le conseillé du Roi, Clément Charles François de L'Averdy, envoie alors un chasseur normand. Il est réputé bon chasseur de loups, puisqu'il en aurait abattu plus de 1 200. Martin Denneval et son fils se rendent donc en Gévaudan au milieu du mois de février.
 
Le combat de Portefaix

Avant l'arrivée des Denneval, le 12 janvier, la Bête s'attaque à sept enfants du Villaret, paroisse de Chanaleilles. Le combat qui l'a opposée aux jeunes bergers et le courage dont ces derniers ont fait preuve sont restés dans les annales. Depuis l'apparition de la Bête, il était recommandé de ne pas envoyer seuls les enfants garder le bétail. L'élevage dans cette région était principalement celui des vaches et des moutons. Cependant, les hommes adultes étaient souvent occupés aux travaux des champs. Pour limiter les positions de faiblesse que présentent des enfants seuls, les troupeaux sont donc souvent groupés afin que les jeunes gardent ensemble les animaux. 

C'est le cas des sept enfants du Villaret, cinq garçons et deux filles âgés de huit à douze ans. La Bête s'attaque à eux, tournant autour des enfants qui s'étaient regroupés en position de défense. Elle s'empare alors de l'un des plus jeunes garçons, mais les autres réussissent à piquer la Bête à l'aide de lames fixées sur des bâtons, jusqu'à lui faire lâcher prise. Elle a cependant le temps de dévorer une partie de la joue droite de sa victime. Elle revient ensuite à la charge, saisissant Joseph Panafieu, le plus jeune, par le bras, et l'emportant avec elle. L'un des jeunes suggère alors de s'enfuir pendant qu'elle est occupée, mais un autre, Jacques André Portefaix, énonce le contraire. Ils accourent alors pour secourir leur infortuné compagnon, tentant de piquer la Bête au niveau des yeux. Ils parviennent finalement à lui faire lâcher prise et à reculer. À l'arrivée d'un ou plusieurs hommes, alertés par les cris, la Bête s'enfuit dans un bois voisin.

Monsieur de Saint-Priest informe monsieur de l'Averdy de ce combat. Et, pour le récompenser de son courage, le Roi offrit de payer l'éducation de Jacques Portefaix. Ainsi, le 16 avril 1765, Portefaix est admis chez les Frères de la Doctrine Chrétienne, ou Frères Ignorantins, de Montpellier. Il y reste jusqu'en novembre 1770, Il devient ensuite lieutenant, sous le nom de Jacques Villaret, et meurt le 14 août 1785, à l'âge de 32 ans.
  Tout au longt de l'histoire, il y'à eu des mort étranges que l'on dit victime du bête mystérieuse au noms divers, qu'en est-il de ces autres bêtes mystérieuse que l'on pense être cette fameuse bête du Gévaudan?
 
Le loup des Chazes
thème 12: la légende de la bête du Gévaudan
Durant la deuxième quinzaine du mois de septembre, vers le 20 ou le 21, François Antoine est averti qu'un gros loup, peut-être la Bête, rôde près du bois des dames de l'abbaye des Chazes, à proximité de Saint-Julien-des-Chazes. Même si, jusqu'alors, la Bête ne s'était jamais rendue de ce côté de l'Allier, Antoine décide de s'y porter. Il fait cerner, avec l'aide de 40 tireurs venus de Langeac, le bois de Pommier. Et c'est lui, François Antoine, qui débusque l'animal, qui se retrouve à 50 pas de sa personne. Il tire, la bête tombe, se relève, et se jette sur lui. Le garde Rinchard, qui se trouve à proximité, tire à son tour et abat l'animal. Selon le procès verbal dressé par François Antoine, cet animal n'est autre qu'un gros loup qui pèserait dans les 130 livres. Ils le transportent alors à Saugues, où il est disséqué par le sieur Boulanger, chirurgien de la ville. Selon ce même procès verbal, plusieurs témoins confirment qu'il s'agit bien là de la Bête qui les a attaqués. Parmi les témoins cités se trouvent Marie-Jeanne Valet et sa s½ur. 

Presque immédiatement après la rédaction du procès verbal, Antoine de Beauterne, le fils, charge l'animal sur son cheval afin de se rendre à Paris. Il fait cependant étape à Saint-Flour pour le montrer à M. de Montluc. Il arrive à Clermont-Ferrand dans la soirée. Là, il fait naturaliser et embaumer l'animal. Le 27 septembre, Antoine de Beauterne quitte Clermont avec l'animal et arrive à Versailles le 1er octobre. La bête est alors exposée dans les jardins du Roi. Pendant ce temps, François Antoine et ses gardes-chasse sont restés en Auvergne et continuent de chasser dans le bois alentour de l'abbaye royale des Chazes, où une louve et ses petits ont été signalés. Le dernier de ces louveteaux est abattu le 19 octobre. François Antoine et ceux qui l'accompagnent peuvent alors quitter le pays, ce qu'ils font le 3 novembre.

Officiellement, la Bête du Gévaudan est morte, tuée par le porte-arquebuse du Roi, François Antoine. Peu importe les événements qui ont suivi, le loup des Chazes était bien la Bête. Ce caractère officiel a d'ailleurs été confirmé en 1770 lorsque François Antoine s'est vu accorder, par brevet, le droit de porter un loup mourant, symbolisant la Bête, dans ses armes.
 
Les nouvelles attaques

Le mois de novembre se déroule sans qu'aucune attaque ne soit relevée. Le peuple commence à considérer qu'Antoine a bien tué le monstre qui terrorisait le pays. Dans une lettre du 26 novembre, Lafont indique d'ailleurs à l'intendant du Languedoc : « On n'entend plus parler de rien qui ait rapport à la Bête ». Rapidement pourtant, la rumeur commence à relater des attaques qu'aurait commises la Bête vers Saugues et Lorcières. Ces attaques sont épisodiques jusqu'au début de l'année 1766, et le peuple comme Lafont ne savent s'ils doivent attribuer ces méfaits à la Bête ou à des loups. Cependant, le 1er janvier, M. de Montluc, dans une lettre à l'intendant d'Auvergne, semble persuadé que la Bête a bien reparu. Ce dernier alerte le Roi, mais celui-ci ne veut plus entendre parler de cette Bête puisque son porte-arquebuse en est venu à bout. À partir de cet instant, les journaux n'ont d'ailleurs plus relaté les attaques survenues en Gévaudan ou dans le sud de l'Auvergne.
 
Tout porte alors à croire que la bête est revenue mais qu'elle n'occupe plus autant de terrains qu'avant
 
La Bête de Chastel

Au début de l'année 1767, une légère accumulation des attaques se fait sentir. Mais au printemps, on assiste à une rechute des attaques. Le peuple ne sait plus que faire pour en venir à bout, si ce n'est prier. Alors les pèlerinages se multiplient, principalement à Notre-Dame-de-Beaulieu et à Notre-Dame-d'Estours.
Le 18 juin, il est rapporté au marquis d'Apcher que, la veille, la Bête avait été vue dans les paroisses de Nozeyrolles et de Desges. Elle aurait tué, dans cette dernière paroisse, Jeanne Bastide, âgée de 19 ans, au village de Lesbinières. Le marquis décide de mener une battue dans cette région, sur le mont Mouchet dans le bois de la Ténazeire, le 19 juin. Il est accompagné de quelques volontaires voisins, dont Jean Chastel, réputé excellent chasseur.

Alors que ce dernier se trouvait au lieu dit la « sogne » d'Auvers, un carrefour de chemins, il vit passer l'animal, lui tira dessus et parvint à l'atteindre à l'épaule. Rapidement, les chiens du marquis seraient arrivés pour achever la Bête. 

De ce coup de fusil, la légende a conservé le discours romancé de l'abbé Pierre Pourcher qu'il disait tenir de la tradition orale de sa famille : « Quand la Bête lui arriva, Chastel disait des litanies de la Sainte Vierge, il la reconnut fort bien, mais par un sentiment de piété et de confiance envers la Mère de Dieu, il voulut finir ses prières ; après, il ferme son livre, il plie ses lunettes dans sa poche et prend son fusil et à l'instant tue la Bête, qui l'avait attendu. »

Huit jours après la destruction de la Bête par Jean Chastel, le 25 juin, une louve qui, selon plusieurs témoignages, accompagnait la Bête, est tuée par le sieur Jean Terrisse, chasseur de monseigneur de la Tour d'Auvergne. Il reçoit alors 48 livres de gratification.
 
Le destin de la Bête

La Bête est alors portée au château de Besque, vers Charraix, résidence du marquis d'Apcher. On mande le notaire Marin, qui établit un rapport très précis sur les dimensions de l'animal. Il est accompagné du chirurgien de Saugues, le sieur Boulanger, et de son fils, ainsi que d'Agulhon de la Mothe, médecin. La Bête est ensuite empaillée par Boulanger, et est exposée au château de Besque. Le marquis d'Apcher ne rechigne pas à la dépense pour recevoir fastueusement la foule qui s'empresse de venir voir la Bête. De nombreux témoignages de victimes d'attaques viennent alors s'inscrire au rapport Marin. La Bête reste donc un long moment à Besque (une douzaine de jours). Le marquis d'Apchier mande alors un domestique, le dénommé Gilbert de l'emmener à Versailles pour la montrer au Roi. Suivant les écrits de l'abbé Pourcher il est admis que Jean Chastel était également du voyage. Cependant, des études durant l'année 2010 affirment que si ledit Gilbert a effectivement amené la Bête à Paris, rien ne prouve que Chastel était également du voyage.
 
Arrivée au château du Roi, la Bête est dans un état de putréfaction avancé. Boulanger s'est en effet contenté de vider les entrailles et de les remplacer par de la paille. Le trajet et la chaleur n'ont pas dû favoriser la conservation. Lorsque Chastel (ou Gilbert) demande une entrevue avec le Roi pour lui présenter la Bête, cette demande est refusée en raison de l'état de l'animal. C'est donc Georges-Louis Leclerc de Buffon en personne qui l'examine et conclut qu'il s'agit là d'un loup de grande taille. La Bête est alors enterrée dans un jardin du château sans que rien n'en soit conservé. Il n'y a pas non plus trace de ce que Buffon aurait pu écrire sur la Bête. Réunis le 9 septembre, les États particuliers du Gévaudan octroyèrent à Jean Chastel une modique récompense s'élevant à 72 livres.


thème 12: la légende de la bête du Gévaudan
Depuis d'autre attaques resurgissent parfois mais les dires sur la bête du Gévaudan n'est pas souvent prise au sérieux.

Que pensez-vous de cette légende?

Remix de lovparanormal-surnaturel

​ 12 | 4
Commenter

#Posté le vendredi 26 décembre 2014 10:44

  • Amis 0
  • Tweet
  • Commentaires
  • Kiffs
  • Remix

Commenter

L'auteur de ce blog n'accepte que les commentaires de ses amis.

Tu n'es pas identifié.Clique ici pour poster un commentaire en étant identifié avec ton compte Skyrock et un lien vers ton blog ainsi que ta photo seront automatiquement ajoutés à ton commentaire.

Commenter

Pour commenter cet article, va sur le blog de son auteur.

lovparanormal-surnaturel, Posté le jeudi 09 juin 2016 02:36

michifraise a écrit : "C'est pas le loup garou le plus connue alors que ce n'est même pas un loup ?"

C'est une des hypothèse pour cette bête mais elle n'est pas vraiment retenue


michifraise, Posté le mardi 07 juin 2016 09:28

C'est pas le loup garou le plus connue alors que ce n'est même pas un loup ?


Hitek, Posté le dimanche 26 avril 2015 13:17

Je profite de cette balade dans ton univers pour te souhaiter une agréable soirée


Akasha6669, Posté le samedi 27 décembre 2014 07:13

La Bête restera un mystère ms une chose est sûre:ce n'etait ni un loup,ni un homme.


RSS

Article précédent

Article suivant

Skyrock.com
Découvrir
  • Skyrock

    • Publicité
    • Jobs
    • Contact
    • Sources
    • Poster sur mon blog
    • Développeurs
    • Signaler un abus
  • Infos

    • Ici T Libre
    • Sécurité
    • Conditions
    • Politique de confidentialité
    • Gestion de la publicité
    • Aide
    • En chiffres
  • Apps

    • Skyrock.com
    • Skyrock FM
    • Smax
  • Autres sites

    • Skyrock.fm
    • Tasanté
    • Zipalo
  • Blogs

    • L'équipe Skyrock
    • Music
    • Ciné
    • Sport
  • Versions

    • International (english)
    • France
    • Site mobile